Qui dit Grand Prix de France, dit dispositif spécial sur les antennes du groupe Canal. Un plateau surplombant le bout de la pitlane a notamment été installé et tout au long du week-end, les invités s’y succèdent : de Fabio Quartararo (Petronas Yamaha SRT) à Johann Zarco (Esponsorama Racing), en passant par Joan Mir (Team Suzuki Ecstar), Miguel Oliveira (Red Bull KTM Tech3), Romano Fenati (Sterilgarda Max Racing) ou encore Darryn Binder (CIP – Green Power) …
#FrenchGP ????????
— CANAL+ MotoGP™ (@CanalplusMotoGP) October 10, 2020
????️ "Notre idée est bien de commencer au Qatar en mars"
Carmelo Ezpeleta prévoit d'organiser le calendrier 2021 comme d'habitude ????️ pic.twitter.com/ES59UfADfl
Margot Laffite y aura même reçu ce samedi Carmelo Ezpeleta, qui s’exprimait pour l’occasion en français. Le PDG de Dorna Sports débutait d’ailleurs son discours en rappelant l’importance d’avoir pu maintenir une telle épreuve cette année.
« C’est un plaisir d’être ici et j’aimerais en profiter pour remercier Canal+ pour tout son travail, pour contribuer à promouvoir le MotoGP™ en France. Quand la pandémie s’est déclarée, nous avons commencé à discuter et travailler avec Claude Michy, un promoteur extraordinaire, raconte-t-il. Malgré les difficultés, nous avons trouvé un moyen de venir au mois d’octobre et nous en sommes très heureux. Je pense que c’est un rendez-vous important du calendrier. La France a toujours été présente en Championnat du Monde, qui plus est cette année avec Fabio et Johann. Malheureusement, nous ne pouvons pas accueillir l’intégralité des fans. Quoi qu’il en soit, c’était important pour nous de faire le déplacement et nous en sommes ravis. »
Questionné par ailleurs sur le visage du calendrier 2021, Carmelo Ezpeleta nous donnait d’ores et déjà quelques indications…
« Oui, notre idée pour l’année prochaine est effectivement de suivre un calendrier normal. On débuterait au Qatar en mars et on terminerait sur le circuit Ricardo Tormo au mois de novembre. Après il y a plusieurs possibilités mais le plus important, c’est d’avoir pu démontrer qu’on pouvait être capables de rouler à n’importe quel endroit malgré cette pandémie, que notre paddock ne présentait pas de risques. On a déjà presque toutes les dates. On n’est pas encore en mesure de le publier, car on continue de travailler avec la Formule 1, pour éviter de potentiels clashs. Mais oui, l’idée est bien avoir un calendrier qui s’étendrait sur huit mois. »
L’intégralité de cet entretien, donné en amont des FP4, est disponible sur la plateforme MyCanal.
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