En 2017, cinq pilotes différents se sont imposés, dix ont figuré sur le podium, même chose pour ce qui est du nombre de concurrents ayant mené une épreuve. Chaque week-end nous réserve son lot de surprises et avec un rendez-vous de plus au calendrier, 2018 pourrait être une saison tout aussi passionnante.
Marc Márquez (Repsol Honda Team), Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP) ou encore Andrea Dovizioso (Ducati Team) : autant de noms que vous êtes désormais habitués à voir aux avant-postes. Mais ces deux dernières années, certains pilotes indépendants ont été en mesure de rivaliser avec eux. Ce fut le cas entre autres de Cal Crutchlow (LCR Honda Castrol) et de Johann Zarco (Monster Yamaha Tech3).
MotoGP™ Rewind : #SanMarinoGP
La saison passée, le Français avait fait une entrée très remarquée en menant les six premiers tours de la manche inaugurale au Qatar, pour finalement se faire piéger. Ce dernier aura finalement empoché trois podiums pour sa première campagne en MotoGP™, prochaine étape : la victoire ! À vrai dire, la France en rêve depuis plus de 18 ans et cette dernière viendrait à point nommé pour son team, qui a récemment annoncé sa séparation de Yamaha.
Il y a deux ans de cela, Cal Crutchlow faisait pour sa part taire d’éventuels détracteurs, en inscrivant deux succès à Brno et à Phillip Island. Le Britannique connaissait ensuite une saison 2017 plus compliquée, mais aux côtés des pilotes officiels, ce dernier s’impliquait pleinement dans le développement de la RC213V. Auteur d’une belle pré-saison, il souhaite à présent retrouver le chemin de la réussite.
MotoGP Rewind : #AustralianGP
Ces dernières années, deux autres pilotes se seront également mis en évidence : Jack Miller (Alma Pramac Racing), vainqueur du DutchTT 2016 et Danilo Petrucci (Alma Pramac Racing), récompensé de quatre Tops 3 en 2017. Cette saison, tous deux associés justement au sein du team Alma Pramac Racing et il faudra se méfier d’eux. Ducati ne cesse d’apporter des améliorations à sa Desmosedici. Laquelle serait d’ailleurs, moins physique à piloter que la Honda selon les propres termes de l’Australien.
Sur une machine plus facile à piloter, Jack Miller (EG 0,0 Marc VDS) pourrait davantage exprimer son potentiel, maintenant qu’il dispose d’une certaine expérience du MotoGP™. En tout cas, sa motivation est intacte.
GoPro™ : Qui est Jack Miller ?
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